Papi pilleur

Les guerres sont toujours des périodes où le droit est malmené. Le vainqueur s’approprie les biens du vaincu. Pour son enrichissement personnel, pour compenser, par vengeance ou simplement en souvenir… Papi n’a pas échappé à la chose puisqu’il raconte tout au long de sa campagne de France ce qu’il a pu glaner ici ou là. Cela va du papier pour sa correspondance aux vins d’Alsace ou de Champagne.

Son arrivée au nid d’aigle d’Hitler, à Bertchesgaden, est racontée dans cette lettre du 5 mai 1945. Il y liste tout ce qu’il a chapardé dans les pièces et les bureaux. Ces objets ont été éparpillés chez les uns et chez les autres, ou ont disparu.

En voici deux. Une porcelaine…

Et puis ce gros livre…

J’en mettrai plus tard quelques images plus précises.

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