État civil Blanchard

XVIIIè Siècle

Extraits des registres paroissiaux catholiques, conservés dans les archives départementales de l’Ardèche, essentiellement Lachapelle-sous-Chaneac et Le Cheylard, registres datés de 1686 à 1758 .

XIXè siècle

Copie des archives de l’état civil, les photos ayant été prises par Jean-François.

XXè siècle

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Les trois frères

J’ai peu d’informations sur les deux frères de Georges. Il y a l’ainé, et le petit dernier. Ils étaient très proches, ont suivi Georges au Maroc, à moins qu’un deux ne s’y soit installé d’abord.

J’ai souvenir d’être allé enfant à Vals les Bains, où mes parents, mes frères et moi avons rencontré dans leur hôtel Lucien et Elvire. Tante Elvire nous avait offert des boissons au bar. J’ai retrouvé des photos de cette époque.

En 1950, derrière le bar de l’hôtel ‘La Roseraie’, à Vals-les-Bains. L’hôtel n’existe plus actuellement. A droite une publicité d’époque.

Photo du mariage de Lucien ou Maurice, à Vals, en 1931.

Et quelques photos du Maroc.

A gauche, Maurice, président de l’association des Cols Bleus, avec l’amiral Antoine, à Casablanca, sans date. À droite, une famille heureuse.

Quelques photos proposées par Jean-Paul Blanchard, Lucien, le frère de Papi, Elvire et leurs enfants.

Et cette photo, dans l’immédiat après-guerre, les deux couples Blanchard, à Privas, au sommet du Montoulon.

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Émile Lacroix

Ce que nous apprennent les quelques documents qui le concerne :

Son niveau d’instruction : il sait lire, écrire, compter (fin d’études primaires)

Sa profession : boulanger

Il a été zouave (2e classe puis caporal), en Tunisie, de 1904 à 1907, selon son registre matricule. Il a été rappelé deux fois à l’armée, pour des périodes d’exercice de deux semaines, en 1910 et 1913, dans un bataillon de chasseurs

Les photos où il apparait en zouave ont été prises par Jean_Baptiste Adamo, un sicilien installé 10, rue des Maltais, à Tunis, maison fondée en 1890.

On grimpait à son studio par un escalier mince et étroit : sa spécialité était de foncer les sourcils et les yeux… Son atelier était comme un niveau de mansarde et les escaliers en bois pour accéder à l’atelier était très étroit et non aux normes architecturales. Il était recouvert d’un genre de velours rouge et pas de hauteur sur les escaliers…” 

Sa disparition au début de la Grande Guerre est documenté ici.

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